Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Mon Mulhouse3
11 juillet 2008

Cambriolages chez Royal : une suspecte identifiée

 

CAMBRIOLAGE

     
Cambriolages chez Royal : une suspecte identifiée

NOUVELOBS.COM | 11.07.2008 | 07:41

Réagissez à l'article 301 réactions

Selon la Place Beauvau, une femme de 23 ans a été identifiée comme un possible auteur du cambriolage du domicile de l'ex-candidate à la présidentielle, le 16 août 2006. La police a également relevé des "empreintes digitales exploitables" dans l'enquête sur l'autre effraction, le 27 juin dernier.

(Reuters)

(Reuters)

 

Le ministère de l'Intérieur a fait savoir, jeudi 10 juillet en début de soirée, qu'une femme de 23 ans originaire d'ex-Yougoslavie a été identifiée par les services de police comme un possible auteur du cambriolage du domicile de Ségolène Royal le 16 août 2006.
Son identification, réalisée le 30 juin dernier, a été faite à partir d'une empreinte digitale retrouvée par les enquêteurs en août 2006, a-t-on ajouté de même source.
L'identification de cette empreinte n'avait rien donné auparavant de sorte que le dossier avait été clos en mars 2007. C'est un nouveau passage de cette empreinte dans le fichier idoine qui l'a finalement permise.
Cette empreinte appartient, a-t-on précisé au ministère de l'Intérieur, à une femme originaire d'ex-Yougoslavie, connue pour avoir commis de nombreux cambriolages.
Ce dossier va donc être rouvert par le parquet de Nanterre, a-t-on ajouté.

"Des empreintes exploitables"

Concernant l'effraction, le 27 juin dernier, du domicile de Ségolène Royal, situé à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) en rez-de-jardin, le ministère de l'Intérieur a indiqué que des "empreintes digitales exploitables avaient été retrouvées". Elles sont en cours d'identification. Le ministère a confirmé qu'il n'y avait pas eu de vol.
En outre, il a souligné qu'une équipe de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) s'était rendue sur les lieux le 2 juillet pour procéder, en présence d'un des fils de la présidente PS de la région Poitou-Charentes à une "sécurité électronique" [recherche de système d'écoute, ndlr].
"Rien n'a été trouvé", a-t-on affirmé de même source, en ajoutant que les enquêteurs avaient souligné "l'extrême vulnérabilité du logement". Lors de l'effraction du 27 juin, le système d'alarme n'était pas branché.

Sous protection rapprochée

Me Jean-Pierre Mignard, conseil de Ségolène Royal, et Jean-Louis Bianco, un des proches de l'ex-candidate à la présidentielle, avaient demandé à rencontrer le directeur de cabinet de la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie.
Un conseiller de la ministre pour la sécurité et le directeur de la police judiciaire de Paris recevront les deux hommes dans les prochains jours, a-t-on indiqué place Beauvau.
On a par ailleurs fait valoir que depuis l'élection présidentielle, Ségolène Royal bénéficiait de la protection de deux fonctionnaires de police du service de protection des hautes personnalités (SPHP).
Ségolène Royal a affirmé jeudi sur RTL qu'elle était "sans doute suivie" ou "écoutée", qualifiant la "mise à sac" de son appartement d'"affaire politique".
"Je suis sans doute suivie puisque que les policiers eux-mêmes ont trouvé très étrange, qu'entre 8h30 et 10h30 le soir de la mise à sac (de son appartement), il y a cette intervention très professionnelle dans un temps très court et à un moment où il n'y a pas de cambriolage car il y a beaucoup d'allers et venues", a-t-elle expliqué.

Retrouvez moi : http://monmulhouse.canalblog.com/





Publicité
Commentaires
Publicité
Publicité