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Mon Mulhouse3
11 novembre 2008

Valls : le PS doit refuser la politique de Sarkozy

Valls : le PS doit refuser la politique de Sarkozy

NOUVELOBS.COM | 11.11.2008 | 08:55

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Alors que le rapprochement ou non avec les centristes divise le parti socialiste, le député-maire d'Evry évoque une "stratégie très claire: d'abord fédérer toute la gauche, et ensuite s'ouvrir à tous ceux qui refusent la politique de Sarkozy et peuvent se retrouver sur notre projet et notamment sur les questions du progrès social et des libertés".

      

Manuel Valls (Sipa)

Manuel Valls (Sipa) 

Alors que le rapprochement ou non avec les centristes divise le parti socialiste, Manuel Valls évoque, dans une interview mardi 11 novembre à Libération, une "stratégie très claire: d'abord fédérer toute la gauche, et ensuite s'ouvrir à tous ceux qui refusent la politique de Sarkozy et peuvent se retrouver sur notre projet et notamment sur les questions du progrès social et des libertés".
Il juge toutefois que "le MoDem est un parti hybride, qui ne veut pas choisir entre la droite et la gauche. Il compte se construire sur l'échec de Sarkozy et notre propre affaiblissement".
"Un accord avec le MoDem n'est donc pas à l'ordre du jour", assure Manuel Valls.

Ségolène Royal "légitime"

Le député-maire PS d'Evry a jugé par ailleurs qu'il serait "légitime" que Ségolène Royal, dont la motion a été placée en tête par les militants du PS qui ont voté jeudi soir, soit candidate à la direction de ce parti.
C'est normal qu'elle se pose la question", a déclaré Manuel Valls, soutien de l'ancienne candidate à la présidentielle, interrogé lors de l'émission "Mots Croisés" sur les intentions de Ségolène Royal concernant la succession de François Hollande.

"Les conditions de rassemblement"

"Elle prendra sa décision dans les heures qui viennent, mercredi sans doute", a-t-il ajouté. "Il serait au fond assez légitime qu'elle soit candidate, mais il faut qu'elle réunisse les conditions d'un rassemblement".
"Ce congrès est peut-être la dernière chance pour le parti socialiste", ce "grand corps malade", a encore dit Manuel Valls.
En face de lui, Benoît Hamon (19% au vote de jeudi), a redit qu'il était candidat à la tête du PS. Pour lui, le congrès a marqué "deux aspirations: un enracinement du PS à gauche et le changement".


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